Petite chronique perdue sur les rives d’une ile différente chaque jour. Je rode dans les rues et en prend plein la gueule, tout ça est tellement pareil.
J’ai vu un oiseau coiffé comme un punk, une mini pie, et des moineaux qui aurai pu être français..
J’écris comme je parle, des choses floues, des phrases longues qui se perdent dans les tréfonds de mes pensées, des mots sans sens qui tournent et rodent le long des lignes de cette page pas blanche du tout.
Ici il pleut, tout à l’heure la pointe de « the center » le building qui change de couleurs a disparu dans les nuages. Maintenant ça s’est calmé. La télé est allumée sans le son, c’est du golf, des voitures et des montres, pas envie de savoir ce que ça en dit. Les pubs montrent de grands hôtels avec baignoire gigantesque dans laquelle flotte des pétales de roses rouges… ce monde n’es pas le mien.
Hier un beau perroquet vert et jaune se promenait sur l’épaule d’un jeune fille…
Lundi Raphaële, Matthieu et moi sommes partis a la recherche de la plus belle plage de Hong Kong, Pour ça il nous a fallu prendre un métro, puis un autre, un minibus, et un bus et pour finir une jolie rando de deux heures et demis… je vous joint la carte avec notre trajet, en rouge c’est a pied.
mais ça vaut vraiment le coup, on a eu la plage pour nous tout seuls ou presque et il a fait un beau soleil!
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