et pour ça on a du grimper tout ça!et plus encore...
samedi 30 janvier 2010
Les paniers des Miaos
un vannier
les Miaos portent beaucoup, souvent et lourd avec ou sans paniers.
là dans un escalier assez raide que j'ai galéré a monté avec mon sac a dos, trois femmes font une pause. Elles sont en habit traditionnel.
un petit vieu courbé sous son fagot.jeudi 28 janvier 2010
des nouvelles fraiches...
Voilà, j'ai mis mes plus belles plumes pour vous donner des nouvelles toujours plus fraiches, bientot dans les boîtes aux lettres le Hong Kong new'Z... enfin dans certaine la production n'est pas efficace en ce moment. Manque de vous.(allez le premier qui commente ce message en aura un...)
hunan encore...
La destination idéale s’appelle Dehang, un petit village touristico-préservé a l’autre bout de la région… le territoire de l’ethnie Miao.
Samedi 16
Après 5h de bus et une nuit dans un hôtel miteux on se réconforte a grand coup de Bun…
un petit pain fourré à la viande ou au légumes ou au sucre… cuit a la vapeur... miam!
voilà la demoiselle qui vend des Bun... (on est une fille quand on a un manteau comme ça non??)
On reprend un bus, pour 50 min a travers la campagne puis les montagnes.
De très beau paysages malgrés la brume,un petit village qui doit etre plein de touristes à la belle saison. On s’échappe vite pour s’enfoncer entre les montages dans une vallée de rizières.
la suite, la suite!... hunan, chine.
Un repas entre deux rizière dans le vent nous a frigorifié. C’est toujours à ce moment là qu’on fait des rencontres insolites, d’abord ce paysan avec ses bœuf-buffles,
et puis un homme en 4x4 qui nous invite a monter… pour je ne sais où… Pour des obscures histoires de froid, de pieds plein d’ampoules( ou d’ampoule à orteils) et de fatigue? on le suit… ils nous emmène tout prés dans son élevage d’oie…
il est producteur de foie gras !!
On ne le goutera pas, l’usine de transformation doit être ailleurs.
Après cette petite visite à plume, il nous propose de nous ramener vers Yueyang… on hésite un peu mais en fait c’est peut être la meilleur solution, ce paysage de rizières et de marécages est assez obscure et on ne sait pas trop où aller. En plus je vais pas pouvoir marcher longtemps avec l’état de mes pieds. 
Retour en ville ou on trouve un cyber café mais pas d’auberge de jeunesse, on reprend donc un bus pour ChangSha. Retour à la case depart.
Les un en profitent pour aller chercher leur nouveau visa pendant que les autres achètent des nouvelles « chaussures ». Après étude du lonely planête, et pow how sous un lit, on trouve la destination idéale… encore faut il savoir comment y aller.
mardi 26 janvier 2010
Hunan, chine.
ChangSha, mardi 11 janvier
le lac à Yueyang
On sort de la gare pour apercevoir dans la foule qui attend une tête qui dépasse, c’est mon frère qui nous guette. Gaspard et Mathilde sont arrivés la veille et sont donc venus nous chercher dans le froid matinal. On va manger une bonne soupe de pattes et bœuf épicée et déposer nos bagages dans une guest house. Sieste et balade dans le grand parc de la ville…
le lac à Yueyang
Mercredi 12
On compte pas rester à Changsha plus que nécessaire mais… vous avez déjà essayé de sortir d’une ville a pied sans en avoir de vrai carte ?? Notre boussole nous dit bien la direction vers laquelle on veut aller mais pas la route à prendre pour y arriver. On fini dans une gare routière, puis une autre sans réussir à faire comprendre qu’on veut aller dans le 1er village a la sortie de la ville vers la rivière. On fini par prendre un bus pour Yueyang (grosse ville prés du lac à 2h de route) en se disant qu’on sortira au 1er arrêt.
Sauf que…on prend l’autoroute et on s’arrête pas… résultat à 13h on est dans la même situation qu’au matin… mais dans une autre ville !!
Heureusement on trouve le lac dans la ville et on essaye de suivre la rive pour en sortir… pas si simple, c’est bien sur plein de port de marchandise et d’usines qui n’ont pas envie de nous laisser passer. Après un ou deux demis tours on tente le coup à travers une usine ou finalement personne ne nous arrête. Et on arrive sur une plaine brumeuse et marécageuse… qui doit être inondée en saison des pluies.
Au crépuscule un soleil rouge nous salue, nos tentes jaunes et rouge n’ont rien pour être discrètes, on ne sera pas dérangés.
le train de nuit
on a choisit le hard sleeping, croyant que la couchette allait etre plus dure ou quelque chose comme ça. En fait c'est plus simple, c'est dormir qui est dur, vu que le wagon est constitué d'un couloirs et de series de 6 couchettes en "compartiment". Pas de séparations, on dors les un sur les autres et les couchettes hébergent souvent plus d'un individus. pleurs de bébés, discutions des voisins, et épluchage de tournesol ont rythmé notre nuit... arrivée a 7h30 a ChangSha, l'aventure continue!
mercredi 6 janvier 2010
mission vacances...
Oh ce que je ne vous ai pas encore dit c’est que j’ai passé une partie de ces derniers jours a courir Hong Kong a la recherche de matériel de camping… et pourquoi ça pensez vous ?
Parce que mon frère qui était a Ulan Baator s’est dit que le froid ça suffisait et donc a pris sa copine sous le bras pour descendre vers chez nous.
Ils s’arrêtent tout de même à quelques 800 km de Hong Kong quelque part en brousse chinoise.
Comme la vie est bien faite Thomo a des vacances à prendre et nous allons donc les retrouver pour 15j de camping et de balades quelque part en chine…
Voilà pourquoi j’ai écumé les magasins cachés de Mong Kok le terrible quartier mafieux de Kowloon à la recherche de duvets, réchaud, lampe… rien n’est au rez-de-chaussée et il faut quelque fois beaucoup d’imagination pour trouver le nom de la rue, les numéros d’immeubles et l’entrée du truc. C’est drôle et fatiguant.
On est maintenant fin prés, y’a plus qu’a tout mettre dans les sacs et y’aller… une frontière et une nuit de train nous attendent ce week end.
Je vous fais confiance, vous allez attendre bien sagement qu’on revienne et je vous ferai un petit roman-photo de tout ça !
Parce que mon frère qui était a Ulan Baator s’est dit que le froid ça suffisait et donc a pris sa copine sous le bras pour descendre vers chez nous.
Ils s’arrêtent tout de même à quelques 800 km de Hong Kong quelque part en brousse chinoise.
Comme la vie est bien faite Thomo a des vacances à prendre et nous allons donc les retrouver pour 15j de camping et de balades quelque part en chine…
Voilà pourquoi j’ai écumé les magasins cachés de Mong Kok le terrible quartier mafieux de Kowloon à la recherche de duvets, réchaud, lampe… rien n’est au rez-de-chaussée et il faut quelque fois beaucoup d’imagination pour trouver le nom de la rue, les numéros d’immeubles et l’entrée du truc. C’est drôle et fatiguant.
On est maintenant fin prés, y’a plus qu’a tout mettre dans les sacs et y’aller… une frontière et une nuit de train nous attendent ce week end.
Je vous fais confiance, vous allez attendre bien sagement qu’on revienne et je vous ferai un petit roman-photo de tout ça !
lundi 4 janvier 2010
et il y avait...
tournebicotons
Ah ah ah… 2010 !
Ben voilà après une belle nuit pleine de pensées, créations imaginaires et réflexions pendant que LUI dormait et faisait des bulles de songes et de nez (l’est enrhubé Monsieur)
Après quelques jours à se promener sur la pointe des pieds dans quelques univers sympathiques de fils d’aiguille de poils et de recyclage…
Après avoir dormis un peu…
Après avoir pris une douche chaude Très chaude (ça réveille pas mais après on est plus ou moins rouge et fumant et propre)
Après avoir avalé quelque chose…
Je me lance (pas trop fort, pas trop loin) dans une nouvelle dimension.
Et je suis de bonne humeur… hahahaha !
Et oui aujourd’hui c’est un peu NOËL, d’abord et ça aurais du me mettre la puce à l’oreille y’avait un superbe soleil ce matin qui me regardait par la fenêtre.
Et puis, comme j’ai attaqué mon avant dernier livre récemment, même si il est long faut jamais se laisser avoir par le dernier (surtout quand il est surement très bien mais un peu court), j’ai pris ma besace sou le bras et on est allée toute les deux prendre l’ascenseur direction la médiathèque de l’alliance française ! et oui rien que ça. (Pas d’inquiétude, il y a plus de livres chez mes parents que dans ce truc MAIS c’est pas les mêmes… c’est toujours ça !)
Sauf que, l’ascenseur s’est arrêté devant la série de boites qui contiennent les factures quotidiennes de mes chers co-habitants de l’immeuble et là…
Tindin !
LE paquet de mamaman !!
Ha !
Il est arrivé après un mois de voyage qu’il ne me racontera pas dans les contrés magique des paquets postaux.
VIVE LUI !!
et maintenant y'a plu qu'a attendre Thomo pour pouvoir l'ouvrir...
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